Bienvenue sur le site web de l'Union des Personnes Handicapées du BURUNDI
Le droit à la protection sociale à l'épreuve de la crise de la COVID-19: L’importance des systèmes de protection sociale non contributifs pour protéger le secteur informel en Afrique subsaharienne
La plateforme pour les droits économiques, sociaux et culturels en Afrique, publie ce jour un rapport d’analyse des systèmes de protection sociale dans six pays d’Afrique subsaharienne: le Burundi, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la RDC, le Sénégal et le Togo. Malgré d’importants progrès dans l’extension de la protection sociale dans de nombreuses régions du monde, le droit fondamental à la sécurité sociale n’est pas encore une réalité pour la majeure partie de la population mondiale. La pandémie de la COVID-19 a mis en lumière le manque cruel de protection sociale en Afrique subsaharienne, en particulier pour les travailleur.ses du secteur informel. C’est dans ce contexte qu’en juillet 2020, la plateforme pour les DESC en Afrique, coalition composé d’associations coordonnée par Human Dignity, a lancé une campagne annuelle pour le droit à la protection sociale. Le présent rapport « état des lieux » constitue un temps fort de cette campagne. Constatant que la majorité des régimes de protection sociale existants ne couvre que 15 % de la population africaine, le rapport analyse les forces et les faiblesses des systèmes non contributifs de protection sociale dans 6 pays. Les systèmes non contributifs, où l’accès à l’aide n’est pas conditionné par le versement de cotisations par les bénéficiaires, sont en effet essentiels afin de protéger les travailleur.ses de l’économie informelle.
Personnes Handicapées/ autonomisation
Vers l’autonomisation des personnes Handicapées, le leitmotiv des membres des OPH Bukeye et Matongo
Les personnes handicapées des OPH Bukeye (Muramvya) et Matongo (Kayanza) déterminées à dissuader tous ceux qui croient que les personnes handicapées sont la charge aux familles et aux communautés et mettre fin aux pratiques de mendicité souvent observées chez les personnes handicapées. Ayant obtenus des appuis donnés par l’UPHB via le financement de la Fondation Liliane et du gouvernement du Burundi, convaincus de leur responsabilité dans la lutte contre la pauvreté, l’unanimité est observé : les personnes handicapées unies pour vaincre les inégalités ; les propos recueillis par Adelin Christian NDATIMANA lors de l’entretien organisé les 30-31 décembre 2020
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)Chrétien ou musulman, la question du handicap nous concerne tous
En date du 18 décembre, l’Union des Personnes Handicapé du Burundi(UPHB) a organisé une « une conférence-atelier sur le modèle d’inclusion du handicap dans les programmes de développement en faveur de ces organisations partenaires et des représentants des confessions religieuses œuvrant au Burundi». L’Union des Personnes Handicapées en collaboration avec ses partenaires techniques et financiers a planifié cette conférence-atelier avec les responsables des OP et les responsables des différentes confessions religieuses en vue de débattre sur l’importance de franchir le gap allant du modèle Charité au modèle droit de l’homme pour l’inclusion effective des personnes handicapées dans leurs programmes de développement. Dans l’histoire du pays, les confessions religieuses au Burundi ont joué et jouent encore un rôle primordial dans l’assistance et la scolarisation des personnes handicapées et de leurs familles. Toutefois, ces confessions religieuses adoptaient surtout le modèle de la charité et le modèle médical, d’où une conférence-atelier organisée par l’UPHB avec les grands thèmes suivant :
- La pastorale des personnes handicapées et de leurs familles au sein de l’Eglise catholique par Abbé Jean Bosco NINTUNZE, secrétaire Général de Caritas Burundi
- L’Islam et ses initiatives en faveur des personnes handicapées par El Hadj Haruna Jérôme NKUNDUWIGA, communauté musulmane du Burundi Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Le droit à la protection sociale à l'épreuve de la crise de la COVID-19:
L’importance des systèmes de protection sociale non contributifs pour protéger le secteur informel en Afrique subsaharienne
La plateforme pour les droits économiques, sociaux et culturels en Afrique, publie ce jour un rapport d’analyse des systèmes de protection sociale dans six pays d’Afrique subsaharienne: le Burundi, la Côte d’Ivoire, le Gabon, la RDC, le Sénégal et le Togo.
Malgré d’importants progrès dans l’extension de la protection sociale dans de nombreuses régions du monde, le droit fondamental à la sécurité sociale n’est pas encore une réalité pour la majeure partie de la population mondiale. La pandémie de la COVID-19 a mis en lumière le manque cruel de protection sociale en Afrique subsaharienne, en particulier pour les travailleur.ses du secteur informel.
C’est dans ce contexte qu’en juillet 2020, la plateforme pour les DESC en Afrique, coalition composé d’associations coordonnée par Human Dignity, a lancé une campagne annuelle pour le droit à la protection sociale. Le présent rapport « état des lieux » constitue un temps fort de cette campagne.
Constatant que la majorité des régimes de protection sociale existants ne couvre que 15 % de la population africaine,le rapport analyse les forces et les faiblesses des systèmes non contributifs de protection sociale dans 6 pays.
Les systèmes non contributifs, où l’accès à l’aide n’est pas conditionné par le versement de cotisations par les bénéficiaires, sont en effet essentiels afin de protéger les travailleur.ses de l’économie informelle.
Principales conclusions
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)
Mariage et Handicap : Mythes ou Réalités
Au Burundi, épouser une personne Handicapée c’est signe de compassion et non d’amour, pourtant à Kijuri en Commune Matongo, des personnes aveugles ont fondé leur famille, un exemple à suivre pour mettre fin aux mythes et autres préjugés.
Le centre de Kijuri (Commune Matongo en Province Kayanza) est connu parce qu’il est le siège sociale de l’ARSAB, Association pour la Réintégration des Aveugles du Burundi et lieu de naissance du célèbre Daniel Ntiranyibagira, un aveugle et visionnaire. Depuis 1999, ARSAB a commencé ses activités de sensibilsation des familles et des communautés à inscrire les enfants aveugles à l’école et Daniel fait face aux défis liés à la scolarisation des enfants aveugles en milieu rural et parvient à créer une école des aveugles à Kijuri. ARSAB compte 200 membres actifs et participent activement au développement du pays.
Derrière un grand homme se cache une grande femme, laquelle ?
Kijuri, le lieu de naissance du célèbre Daniel Ntaranyibagira, leader charismatique de l’ARSAB qui a pu convaincre le président Feu Pierre Nkurunziza à soutenir l’école des aveugles de Kijuri et donner de l’eau potable et de l’électricité à ce centre isolé en 2006. Il restera dans l’histoire des annales de cette petite localité de Matongo qu’un aveugle a vaincu la peur et nouer des relations de partenariats avec les hautes autorités du pays pour l’intérêt de sa communauté.
Toujours faut-il s’intéresser à l’identité d’une femme qui a épousé le célèbre Daniel Ntiranyibagira aveugle depuis 5 ans. Mpawenayo Gaudence épouse de Daniel et mère de 5 enfants. Une femme discrète mais qui console sa chère épouse dans sa lutte pour l’intérêt des personnes handicapées surtout aveugle. Daniel affirme être heureux grâce à sa charmante épouse qui a consacré sa vie sans autre forme de spéculation. Mon épouse m’a soutenu depuis que l’on s’est connu et reste fidèle à son alliance, conclut Daniel. Elle est forte de caractère n’a pas besoin des acclamations si son époux connait du succès. Quel couple !
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)JIPH Célébration au rythme du tambour au centre-ville de Ruyigi (Est du Burundi)
- Ndatimana
- Actualités
Journée Internationale des Personnes Handicapées, célébration au rythme du tambour au centre-ville de Ruyigi (Est du Burundi)
L’Union des Personnes Handicapées du Burundi s’est joint aux personnes Handicapées de la province Ruyigi (Est du Burundi) pour célébrer ensemble la Journée internationale des Personnes Handicapées. Les autorités administratives locales ont pris part aux cérémonies et promettent du soutien aux initiatives des organisations des Personnes handicapées.
Ecrire un commentaire (0 Commentaires)